Mercredi, septembre 22, 2010

Les sessions de Caux 2010 ont permis des développements significatifs pour le Dialogue entre Agriculteurs. Lors du Forum de Caux sur la sécurité humaine, M. Bruno Parmentier, directeur du Groupe ESA (principal acteur privé français en matière de formations agricoles), y a abordé les grands défis en matière d’alimentation et de développement durable. Il était intervenu pour la rencontre internationale d’agriculteurs de La Pommeraye, en novembre 2007, et le partenariat avec lui s’est poursuivi, notamment dans le cadre d’un projet « pour une agriculture écologiquement intensive ».

Les sessions de Caux 2010 ont permis des développements significatifs pour le Dialogue entre Agriculteurs. Lors du Forum de Caux sur la sécurité humaine, M. Bruno Parmentier, directeur du Groupe ESA (principal acteur privé français en matière de formations agricoles), y a abordé les grands défis en matière d’alimentation et de développement durable. Il était intervenu pour la rencontre internationale d’agriculteurs de La Pommeraye, en novembre 2007, et le partenariat avec lui s’est poursuivi, notamment dans le cadre d’un projet « pour une agriculture écologiquement intensive ».

Autre étape importante : l’accueil par l’Association Internationale d’Initiatives et Changement du Dialogue entre Agriculteurs comme membre associé. Cette décision consacre le caractère international du projet, son enracinement dans I&C et son attachement à faire des agriculteurs des acteurs du changement pour un monde meilleur.

Les délégués venus d’Afrique ont permis aux coordinateurs du Dialogue entre Agriculteurs de préciser le projet de semaine de réflexion et de formation destiné à ses responsables dans le monde. Sous réserve de financement, cette rencontre aura lieu au Rwanda l’hiver prochain, de façon aussi à poser les jalons d’une rencontre internationale d’Agriculteurs en 2012.

Le Dialogue entre Agriculteurs a participé à la session « Confiance et Intégrité dans une économie mondialisée », et notamment à l’atelier : « Alimentation, responsabilité du consommateur et développement durable ». La venue d’agriculteurs suisses et la réalité de leur vécu ont stimulé des échanges francs et encouragé chacun à se mobiliser pour les approvisionnements locaux et de qualité et à mieux connaître les agriculteurs.

Quelques agriculteurs suisses se sont aussi réunis pour parler du projet en Suisse : objectifs, organisation et soutien financier au fonctionnement du Dialogue entre Agriculteurs, informations sur les initiatives en cours au niveau international.

Les panneaux de présentation du projet, sur lesquels l’équipe en charge de la communication à Issy les Moulineaux, Fiacre Sengati, stagiaire Rwandais du Dialogue entre Agriculteurs, et Claude Bourdin ont beaucoup travaillé ces derniers mois, ont été vivement appréciés tout au long de l’été par les participants aux rencontres de Caux.

Si l’été n’est pas la meilleure période pour que les agriculteurs se libèrent, Caux aura tout de même renforcé la dynamique du Dialogue entre Agriculteurs à tous niveaux. Les besoins ne manquent pas : recherche de financement, meilleure organisation et nouveaux contacts permettront une plus grande efficacité. Merci de transmettre vos idées pour aider le Dialogue entre Agriculteurs.